Édith Piaf: La icónica cantante francesa detrás de ‘La Vie en Rose’, ‘Hymne à l’Amour’ y otras canciones intemporales

édith piaf

Primeros años de Édith Piaf

édith piaf young

“Non, Je Ne Regrette Rien”

“Hymne à l’Amour”

“La Foule”

“Padam… Padam…”

Representaciones cinematográficas

“La Vie en Rose” (2007)

édith piaf young
  • La Vie en Rose” capta la euforia del amor, tal vez haciéndose eco de los momentos más felices que ella atesoraba.
  • Mon Dieu” expresa una súplica por pasar más tiempo con un ser querido, reflejando su añoranza y la impermanencia que sentía.
  • Les Trois Cloches” aborda el ciclo de la vida y la muerte, temas siempre presentes en su vida.

Legado de resiliencia

Edith Piaf
Edith Piaf

Lista de reproducción en Spotify

Legado y recuerdo de Édith Piaf

édith piaf

Edith Piaf

Édith Piaf – Letras Canciones Populares

Édith Piaf – Letras Canciones Populares

1. La Vie En Rose

La Vie En Rose

Des yeux qui font baisser les miens,
Un rire qui se perd sur sa bouche,
Voilà le portrait sans retouche
De l’homme auquel j’appartiens.

Quand il me prend dans ses bras,
Qu’il me parle tout bas,
Je vois la vie en rose.
Il me dit des mots d’amour,
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose.

Il est entré dans mon cœur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause.

C’est lui pour moi,
Moi pour lui,
Dans la vie,
Il me l’a dit, l’a juré
Pour la vie.

Et dès que je l’aperçois,
Alors je sens en moi
Mon cœur qui bat.

Des nuits d’amour à plus finir,
Un grand bonheur qui prend sa place,
Des ennuis, des chagrins s’effacent,
Heureux, heureux à mourir.

Quand il me prend dans ses bras,
Qu’il me parle tout bas,
Je vois la vie en rose.
Il me dit des mots d’amour,
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose.

Il est entré dans mon cœur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause.

C’est toi pour moi,
Moi pour toi,
Dans la vie,
Tu me l’as dit, m’as juré
Pour la vie.

Et dès que je t’aperçois,
Alors je sens en moi
Mon cœur qui bat.

2. Non, je ne regrette rien

Non, je ne regrette rien

Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Ni le bien qu’on m’a fait
Ni le mal, tout ça m’est bien égal

Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
C’est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé

Avec mes souvenirs
J’ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n’ai plus besoin d’eux
Balayés les amours
Avec leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro

Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Ni le bien qu’on m’a fait
Ni le mal, tout ça m’est bien égal

Non, rien de rien
Non, je ne regrette rien
Car ma vie, car mes joies
Aujourd’hui, ça commence avec toi

3. Hymne à l’amour

Hymne à l’amour

Le ciel bleu sur nous peut s’effondrer
Et la terre peut bien s’écrouler
Peu m’importe, si tu m’aimes
Je me fous du monde entier

Tant qu’l’amour inondera mes matins
Tant qu’mon corps frémira sous tes mains
Peu m’importent les problèmes
Mon amour, puisque tu m’aimes

J’irais jusqu’au bout du monde
Je me ferais teindre en blonde
Si tu me le demandais
J’irais décrocher la Lune
J’irais voler la fortune
Si tu me le demandais

Je renierais ma patrie
Je renierais mes amis
Si tu me le demandais
On peut bien rire de moi
Je ferais n’importe quoi
Si tu me le demandais

Si un jour la vie t’arrache à moi
Si tu meurs, que tu sois loin de moi
Peu m’importe, si tu m’aimes
Car moi, je mourrai aussi

Nous aurons pour nous l’éternité
Dans le bleu de toute l’immensité
Dans le ciel, plus de problèmes
Mon amour, crois-tu qu’on s’aime ?

Dieu réunit
Ceux qui s’aiment

4. La Foule

La Foule

Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le Soleil et sous la joie
Et j’entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi

Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain je me retourne, il se recule
Et la foule vient me jeter entre ses bras

Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne
Écrasés l’un contre l’autre, nous ne formons qu’un seul corps
Et le flot sans effort nous pousse, enchaînés l’un et l’autre
Et nous laisse tous deux épanouis, enivrés et heureux

Entraînés par la foule qui s’élance et qui danse
Une folle farandole, nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés, nos deux corps enlacés s’envolent
Et retombent, tous deux épanouis, enivrés et heureux

Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain, je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l’arracher d’entre mes bras

Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne
Nous éloigne l’un de l’autre, je lutte et je me débats
Mais le son de ma voix s’étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage et je pleure

Et traînée par la foule qui s’élance et qui danse
Une folle farandole, je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L’homme qu’elle m’avait donné et que je n’ai jamais retrouvé

5. Le Ca Ira

Le Ca Ira

Je revois la ville en fête et en délire
Suffoquant sous le Soleil et sous la joie
Et j’entends dans la musique les cris, les rires
Qui éclatent et rebondissent autour de moi

Et perdue parmi ces gens qui me bousculent
Étourdie, désemparée, je reste là
Quand soudain je me retourne, il se recule
Et la foule vient me jeter entre ses bras

Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne
Écrasés l’un contre l’autre, nous ne formons qu’un seul corps
Et le flot sans effort nous pousse, enchaînés l’un et l’autre
Et nous laisse tous deux épanouis, enivrés et heureux

Entraînés par la foule qui s’élance et qui danse
Une folle farandole, nos deux mains restent soudées
Et parfois soulevés, nos deux corps enlacés s’envolent
Et retombent, tous deux épanouis, enivrés et heureux

Et la joie éclaboussée par son sourire
Me transperce et rejaillit au fond de moi
Mais soudain, je pousse un cri parmi les rires
Quand la foule vient l’arracher d’entre mes bras

Emportés par la foule qui nous traîne, nous entraîne
Nous éloigne l’un de l’autre, je lutte et je me débats
Mais le son de ma voix s’étouffe dans les rires des autres
Et je crie de douleur, de fureur et de rage et je pleure

Et traînée par la foule qui s’élance et qui danse
Une folle farandole, je suis emportée au loin
Et je crispe mes poings, maudissant la foule qui me vole
L’homme qu’elle m’avait donné et que je n’ai jamais retrouvé

(Visited 16,437 times, 1 visits today)

Leave a Comment

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Scroll to Top